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Jean-Pierre Dunal - La Voie du Soi-Regard, Eveil et Plénitude de l'Être

LES EFFETS DU "SOI-REGARD"

Qui suis-je ? Spiritualité - Connaissance de Soi - Bien-être Recherche intérieure - Éveil de la Conscience - Clairevoyance Plénitude de l'Être


Hommage à la Terre, Hommage à Gaïa"

(Vidéo mise en ligne le 11 juin 2020)


La Voie du Soi Regard, Vidéo 57


"Comprendre clairement

la nature du mental,

pour comprendre les causes de

nos souffrances psychologiques"

(mise en ligne le 9 septembre 2022)


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Je vais maintenant développer, de façon très concrète, quelques uns des effets qui se produisent en nous, lorsque que nous commençons à pratiquer la méditation par le « Soi-Regard ». Vous pourrez constater et vérifier tout ce qui est dit dans ce paragraphe, en le pratiquant vous-même.



Les effets du « Soi-Regard » sur le corps physique


Dès que nous sommes dans l’observation d’un aspect intérieur, le corps se détend naturellement. Le rythme cardiaque ralentit, une respiration profonde et lente s’installe. Les humeurs et les sécrétions acides, les fluides chimiques nocifs pour le corps, provoqués par les pensées négatives, les émotions, le stress etc., se raréfient. Puis, ces mêmes substances néfastes finissent par disparaître. Pourquoi ? Parce qu’en observant, en devenant le « Contemplateur silencieux » des phénomènes de notre vie (notamment psychiques) nous créons l’amorce d’une déconnexion, l’amorce d’une « dés-identification ». Un recul de la Conscience se produit. Par cette action, nous cessons d’alimenter en énergie nos sentiments et autres pensées mécaniques, égocentriques et illusoires. Notre Esprit va, petit à petit, intégrer de la Lumière, Lumière que nous appelons « Lucidité ». En effet, en devenant le « Témoin » de notre vie intérieure, nous développons un « Pouvoir Eclairant » latent au sein de notre Esprit.


« L’Eveil intérieur ». Œuvre réalisée par Albert Vallé - Photo  J.P. Dunal


La Contemplation intérieure apaise le système nerveux, conduit au calme et à un bien être du corps. Des centres précis dans le corps, que nous appelons les chakras, s’ouvrent naturellement, dès lors que le corps est dans une profonde détente. Le corps aime la vibration et l’énergie spirituelle. La douce plénitude que lui procure la relation avec la dimension Universelle lui est bénéfique, cela le transforme jusque dans ses cellules et l’apaise. On comprend d’ailleurs, à un moment donné de l’évolution, que notre relation avec « l’Universel » agit tel un « procédé Alchimique ». Le corps est tel un « pot », en lequel des substances se mélangent. Ce sont ces substances qui influent et agissent sur le « pot » lui-même (le corps, la mentalité et l’individualité de chacun). Ce sont ces mêmes substances qui le bonifient ou qui le polluent. Il est donc essentiel de Méditer, de se tourner le plus possible vers « l’Universel », vers ce que nous percevons en nous comme le « Divin », afin que l’Alchimie opère dans l’être de chacun.             

« Prendre conscience » de notre dimension intérieure et notamment du corps, c’est Méditer, c’est se connecter à notre « Source Originelle ». Ce n’est pas un « moi » qui « Prend Conscience », c’est une Lumière que nous appelons la Conscience, la Vie dans son essence.   



Les effets du « Soi-Regard » sur le plan émotionnel et sensible :

le plan de l’Âme


Lorsque les états sensibles, les émotions, les sentiments, les réactions impulsives sont objets de regards en soi, un recul de la Conscience se produit. C’est grâce à la Contemplation intérieure, aux regards portés en soi que vont se désamorcer, petit à petit, les réflexes mécanisés de nos réactions, de nos pulsions, ce que nous percevons en nous comme l’effet de notre conditionnement. Cela se réalise de façon progressive, pasà pas, tel un bébé qui vient de naître, qui s’éveille à la Vie et se voit confronté au monde qui l’entoure.


Photo Jeff


Les sentiments, les émotions, nos aspects sensibles vont devenir eux-mêmes « objets de regard ». Il faut bien comprendre que si aucune lumière n’éclaire les états d’être en nous, aucun changement ne se produira. Grâce au recul de la conscience, grâce à la Lucidité naissante, nous ne vivrons plus les évènements de notre vie de la même manière.


Plus la Lucidité, plus la lumière intérieure grandissent en nous et moins le mental a d’emprise dans le champ de notre conscience. Les pensées ne peuvent plus étendre leurs racines profondément dans notre subconscient, dans notre champ émotionnel et jusque que dans l’A.D.N. de notre corps physique. Pourquoi ? Parce que le simple fait de se positionner en le « Témoin » en nous, face à notre mental, désamorce naturellement le mouvement répétitif et abrutissant des mots et des images. Nous allons, grâce à un Esprit en éveil, voir et comprendre clairement la nature du mental et nous serons de moins en moins identifiés aux pensées, au penseur. Mais pour cela, l’expérience du Soi-Regard, celle de l’Observation et de la Méditation intérieures, est incontournable.

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Le bébé qui prend conscience du monde est naturellement dans le Silence, la Contemplation et la Méditation. Lorsque nous nous trouvons à côté d’un bébé, dans un véritable silence, nous sommes en relation avec lui. Une « Présence », une dimension profonde, subtile et vivante de la Vie est alors palpable. A cet instant, si nous savons être dans une réelle et profonde relation avec le bébé, c’est lui qui nous enseigne.

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Plus notre lumière intérieure (la « Lucidité ») grandira en nous et plus notre âme sera en paix. Un état de plénitude, de tranquillité intérieure se stabiliseraet nous sentirons notre âme s’élargir, encore et encore. Les mots « épanouissement de l’âme » prendront tout leur sens. La nature même de notre relation avec le monde, les gens, les animaux, changera, grâce à une réceptivité accrue, une plus grande sensibilité, un amour plus grand pour nos semblables.


Photo Jeff


Les effets du « Soi-Regard » sur le plan de l’intellect

(les pensées, les idées, les raisonnements, les mots)


Le mental va naturellement se calmer et le mouvement des pensées ralentir. Plus la paix du mental se stabilisera en nous, et plus nous pourrons le contrôler, voire l’arrêter quand bon nous semblera. Il ne s’agit pas ici d’un contrôle « forcé », « artificiel » ou le résultat d’une « technique » où un ego, en arrière-plan, désire arrêter ses pensées. Il s’agit d’une conséquence naturelle du fait de voir clairement en soi.


La paix du corps, notamment du système nerveux, est très importante. Quelqu’un de tendu, d’agité et particulièrement porté sur les excitations sensorielles, sera soumis à des champs vibratoires électriques nerveux puissants, ainsi qu’à des fluctuations psychiques (hauts et bas, exaltations et dépressions) déstabilisantes. Il lui sera quasi impossible de trouver une paix mentale car, l’intellect s’excite lui aussi, sous l’influence de l’agitation du corps. Le « Soi-Regard » se pratique dans le calme et si possible dans le silence. Il est essentiel de s’aménager, un peu tous les jours, des moments de calme et de silence. Les parents devraient également apprendre à leurs enfants à apprécier le calme et à partager ses moments avec eux.


Photo Jeff

Lorsqu’un individu remet en question « l’intellect » en lui, lorsqu’il l’observe et l’étudie sérieusement, il comprend qu’il est un aspect de la vie, une « faculté » et non la Vie Elle-même. Les reflex pulsionnels qui le poussent à commenter les évènements de sa vie et à juger perpétuellement ceux des autres, finissent par cesser. L’intellect est un pouvoir d’expression de l’Esprit par les mots. Certes, il a son rôle à jouer dans notre vie, mais il n’a pas le pouvoir de « prendre conscience ». Seule une « Conscience » dans le silence, dans l’éveil et la contemplation a ce pouvoir. L’intellect ne peut exprimer que des aspects isolés, des points de vue partiels et relatifs, il ne peut donc voir les choses de façon « Globale ». Lorsqu’un individu devient un plus conscient de la nature de son intellect, lorsqu’il comprend clairement ses limites, alors il attache beaucoup moins d’importance aux mots. 

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L’intellect ne doit être ni un dictateur, ni un agitateur au sein de la Conscience, il ne devrait, en aucune façon, dépasser les limites de ses fonctions. Exprimer les ressentis, les émotions de l’Âme et formuler les perceptions de l’Esprit, voilà sa juste place. L’intellect doit être l’humble serviteur de l’Âme et de l’Esprit.

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Lorsque, par exemple, nous prenons conscience d’un endroit que nous voyons pour la première fois, le reflexe premier est de « faire silence » en soi. Voyez comme le fait d’observer demande un silence à l’intérieur de soi. Ce reflexe premier est hautement intelligent car, le « silence des mots » permet à l’Esprit une grande réceptivité, un grand Eveil. Aucune perturbation verbale, aucun trouble de l’intellect ne doit troubler la Conscience lorsque l’Esprit observe ou contemple. C’est alors que l’Esprit est libre et c’est ainsi qu’il peut observer en toute liberté. La « liberté intérieure » est essentielle dans le « Soi-Regard ».

L’intellect est une expression spontanée, voir mécanique de notre mémoire verbale. Les mots jaillissent mécaniquement de notre mental lorsque nous voulons expliquer quelque chose. Mais, l’intellect a également des pouvoirs, notamment celui de conditionner le mental d’un individu par la répétition des mots. Il a également le pouvoir de créer de l’émotion en nous, car le son, les mots font vibrer l’Âme. Des « autorités » peuvent, par un matraquage de mots, d’idées, formater l’esprit et le mental des gens. Mais ni le conditionnement, ni l’intellect ne pourront jamais transformer profondément la Conscience d’un individu. Pourquoi ? Parce que la Vie n’est pas partielle, Elle est globale, totale et Absolue. La Vie est profonde, sa puissance est telle chez un individu qu’Elle ne peut être totalement recouverte par les structures conceptuelles et préfabriquées des hommes. La Vie se révoltera et réagira, tôt ou tard, chez un individu si des conditions imposées ne vont pas dans le sens naturel de son bien-être, de son épanouissement.

Photo Jeff



La Vie est bien plus profonde et bien plus puissante que les idées et les concepts préfabriqués des hommes.

Nous allons, en cheminant sur la voie du « Soi-Regard », acquérir des qualités de « souplesse d’esprit », dès lors que nous comprendrons qu’un point de vue sur un aspect particulier peut s’élargir encore et encore, grâce au recul de la Conscience et grâce à l’introspection. Nous ne devrions pas figer nos idées, nos concepts, ni même nos sentiments. Il est important d’en rester libre. S’accrocher à ses idées, à ses sentiments c’est être mort, c’est empêcher la Vie de nous transformer.

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Un grand nombre d’êtres humains n’ont rien d’autre dans leur vie que des préoccupations matérielles, sociales, sentimentales et les plaisirs auxquels ils sont attachés. C’est ainsi, chacun doit accomplir sa vie, mais on peut dire de cette « phase » qu’elle est spirituellement « involutive ». Beaucoup pensent que parce qu’ils évoluent sur le plan matériel, sur le plan dit « tangible » et « concret », ils sont dans la Réalité, alors ils s’y accrochent. Ils se détournent de la Spiritualité parce qu’elle leur paraît impalpable, évanescente, voire irréelle. Alors ils « pédalent » dans le monde physique et social. Ils « pédalent » encore et encore. Ils ne voient pas que ce qui leur permet de vivre leur vie matérielle, est précisément de nature immatérielle.


C’est une Lumière en nous que nous appelons la « Conscience », l’Esprit et l’Âme qui nous permet de vivre, de ressentir, d’évoluer, d’intégrer un nombre incroyable de connaissances et de savoirs. Pourquoi ne pas s’intéresser un peu à la Vie Elle-même dès lors que nous comprenons qu’Elle est tout simplement « Fondamentale » ?


Tant que nous ne tournerons pas vers « l’Intérieur », tant que nous ne soulèverons pas, un tant soit peu, le voile de notre ignorance sur nous-mêmes, nous serons éternellement soumis aux illusions des formes ainsi qu’aux idées « fausses » qui en découlent. 


Lorsque nous nous endormirons ce soir, ou bien, lorsque nous mourrons, qu’adviendra-t-il de notre corps physique, du « tangible », du « concret », du monde physique ? Sitôt que la Conscience, la Vie se retirera, le corps redeviendra ce qu’il est de nature, c’est-à-dire, une structure de mémoire végétative, sans vie réelle. Alors le corps se désagrègera.

Que fait un anesthésiste qui endort un patient avant une opération chirurgicale ? Il plonge le corps dans un profond sommeil et le déconnecte ainsi de sa Lumière intérieure, la « Conscience ». On dit d’ailleurs que le patient (le corps) « perd conscience ». Ensuite, le chirurgien peut commencer son opération et faire ce qu’il veut avec le corps. Il peut l’ouvrir de haut en bas, lui ôter des organes, en mettre d’autres à la place. Il peut également l’amputer, sans que le patient ne ressente quoique ce soit. Sitôt que la Conscience, l’Esprit (La lucidité), l’Âme (Sensibilité) et le rayonnement Vital (l’Intensité) se reconnecteront au corps, alors le patient pourra vivre à nouveau sur le plan de son corps physique.


Lorsque nous découvrirons, à l’évidence, que les aspects de notre être tels les sentiments, les sensations, les idées, les concepts, le « moi », ainsi que le corps physique, sont des « véhicules » qui nous permettent de réaliser des expériences dans le but de nous faire évoluer, lorsque nous comprendrons qu’ils ne sont pas faits pour être figés dans le temps mais pour être dépassés, alors nous ne nous y accrocherons plus. Nous serons beaucoup plus libres. Nos expériences, à tous les niveaux, sont précieuses. Elles sont en phase avec une nécessité expérientielle qui nous pousse toujours vers une évolution de l’Esprit et de l’Âme. Dès qu’une expérience a porté ses fruits et que son temps est passé, une autre expérience se présente, alors un nouveau « Maintenant » se présente. Il s’agit pour nous, êtres vivants en constante évolution, de ne pas traîner en route et d’être sérieux dans notre démarche Spirituelle.


Photo Jeff


Qu’est-ce que la voie du « Soi-Regard » en termes d’actions intérieures ? C’est être dans l’éveil, dans l’attention face aux états d’être qui se manifestent en nous. C’est mettre en place un « grand miroir » dans le champ de notre vie afin d’observer les mouvements qui se produisent en nous. Nous découvrirons, sur le chemin intérieur, que tout émane d’une « Source Absolue » et que c’est « Elle » qui est à l’origine de tout, en termes de facultés, de créativité, d’actions menées dans le monde physique. Plus nous avancerons sur la voie et moins nous serons orgueilleux, vaniteux ou égocentriques, car nous verrons, de toute évidence, que tout émane d’Elle. C’est donc très naturellement que nous lui remettrons les pouvoirs et facultés qui lui appartiennent. Nous serons naturellement humbles et intégrerons de plus en plus une notion « Impersonnelle », lorsque nous agirons ou que nous créerons. C’est dans cette phase qu’une véritable « Liberté de l’Âme » se produit. Car plus nous remettrons à la Vie ce qui lui appartient et moins nous porterons de fardeaux sur nos épaules.


Photo J-P Dunal

Nous sommes, nous, les êtres humains, les seuls dans la hiérarchie terrestre à bénéficier du pouvoir de « Soi-Conscience », mais finalement, très peu d’entre nous l’utilisent. Nous préférons nous laisser porter par le courant du conditionnement général et par notre vie mécanique. Nous ressentons un certain confort lorsque nous nous laissons porter par l’enchaînement répétitif de nos actions, mais nous ressentons également que nous perdons l’enchantement de la Vie.  

Lors de nos premiers regards tournés vers l’intérieur, et notamment lorsque nous observerons notre mental, nous réaliserons à quel point l’égocentrisme est présent en nous. Derrière chacune de nos pensées se cachent des intérêts personnels, des instincts, des forces égocentriques, ainsi que le « moi ». Même derrière des pensées qui, en apparence, paraissent altruistes, il y a, la plupart du temps, l’attente d’une « reconnaissance ». Cela peut effrayer, notamment au début, lorsque nous découvrons l’ampleur de notre égocentrisme, mais nous devons continuer et apprendre à observer, à regarder en soi dans l’équanimité, c’est-à-dire, impassiblement et sans nous juger. Ce que nous voyons, c’est ce que nous sommes, dans une « certaine mesure ». Plus nous avancerons sur la voie intérieure, plus notre dimension intérieure s’emplira de lumière et moins nous nous jugerons, et moins nous jugerons les autres. Nous comprendrons que, finalement, nous souffrons tous des mêmes maux et qu’ils ont pour causes premières, l’égocentrisme, l’ignorance et les ténèbres à l’intérieur de soi.

Le « Soi-Regard » : c’est apprendre à se tenir éveillé face à soi-même et à observer les phénomènes manifestés en soi. C’est comprendre leur nature, il est crucial de voir clair en soi. C’est alors que nous nous débarrassons, petit à petit, de toute impureté, de tout égocentrisme, de toute illusion. Seul subsistera l’Être Pur, l’Être Suprême, l’Être Réel.

Le « Soi-Regard », ce n’est pas se conformer à une image idéalisée et prédéfinie, c’est s’accepter tel que l’on est et vivre le plus possible en phase avec soi-même, dans les limites du respect de l’autre. Le « Soi-Regard » c’est aller vers la simplicité sous toutes ses formes. C’est la simplicité dans nos relations avec la nature, avec les autres, c’est être « clair », sincère et sans arrière-pensées lorsque nous nous adressons à eux.

Photo jeff


Plus nous comprendrons clairement la nature de la Vie en nous et plus nous établirons les liens réels qui nous unissent à « l’Extérieur », aux éléments de la nature, au cosmos, aux créatures terrestres et à nos semblables. Nous allons également, sur le chemin intérieur, nous bonifier, nous transformer. Nous ne pourrons plus faire de mal à quiconque, comprenant que nous émanons tous de la même et unique « Source ».

Plus nous découvrirons « l’Intérieur » et plus nous vibrerons à l’unisson avec l’Univers et nos semblables.


Ce que je veux dire aujourd’hui concernant mon vécu et mon expérience personnelle après ce long chemin parcouru, c’est qu’une lumière intérieure et une paix profonde sont là, stables et immuables. Bien que certains évènements puissent parfois créer de l’émotion, la Paix et la Plénitude reprennent toujours leur place dans le champ de mon être, grâce notamment à une Lumière puissante de l’Esprit. Les relations avec le monde, les gens, avec l’Univers même et la Nature ont également beaucoup changé. L’Esprit s’est élargi et l’Âme a gagné en profondeur. Des élans sensibles, des élans d’Amour pour les autres créent beaucoup de joie dans mes relations et cela apporte tout simplement du bonheur dans ma vie.


Quelle joie de vivre dans le rayonnement d’une Conscience libre et dans un mental en paix ! Savez-vous ce qui m’incite, tout au fond de moi, à parler et à transmettre ces messages ? C’est l’espoir et la joie de partager, avec les autres, le bonheur que je vis, tout simplement. La joie de partager Cela avec mes semblables, avec la Terre entière, avec l’Univers et le Cosmos.


Dans la voie du « Soi-Regard », bien que l’Esprit acquiert un grand discernement et une profonde lucidité, l’Âme devient aussi pure, aussi simple et spontanée que celle d’un petit enfant.

La « Joie sans cause », la Plénitude et le bonheur

ne demandent qu’à être partagés !

«  La Joie sans cause » photo J.P. Dunal